Cher Victor. Hier, mercredi, on a décidé d'aller à la pêche. Une fois arrivés, on s'est as- sis dans l'herbe, au bord de la rivière. Ratus avait mis un gros ver au bout de son hameçon. Il a jeté sa ligne dans l'eau. Tout à coup, le bouchon s'est en- foncé. Ratus a tiré très fort et il a ramené une grosse perche. C'est un poisson avec deux nageoires sur le dos. La première pique comme des épines. Et, bien sûr, Ratus s'est piqué les doigts. Alors il a rejeté la perche dans la rivière et il a dit que, puisque c'était comme ça, il mangerait des sar- dines en boîte à midi. On a bien ri. Je termine ma lettre en t'embrassant très fort. MAROU